au côté d'image

Ozone à l'insu des sens au 6ème
En soi comme elle, tissus sur peau
Petit bateau, deux voiles ...
Etais seule à bord
En pensant à lui
suis marié
Sans l'avoir connu
Nu sous l'un l'aimant de l'eau

L'enfance...
Un enfant, deux ...

La mienne, le ton, son, saint, seine.

L'aime eux, parvis de notre

Notable, sol, sous terre

Il m'a battu des mines
Suis partie, elle.

Partiellement parce qu'il pensionne ?
aurai souhaité qu'on s'aime, nous.

L'enfance qu'il lui a volé, m'a donné,
je croyais, crue d'émoticone.

Cet enfant sorti de moi, elle.
Celle qu'on appelle âme
Parce qu'elle n'est plus seule.

Me sent vide, divine instance ...
Poème
C'est derrière elle
Cheveux poussant
Devant l'avenir du poussin
Ceux qu'on laisse
Ce qu'on lâche
S'enlasse et sème
Autre part
A d'autre verbe
D'autre pieds
D'autre pas se pousse encore

Continue

Inter ...

connecté ?

Regarde ...

Vois tu comme je vis ?

Crois tu en toi comme je suis seule,
avec lui ?

Comme il aime être ensemble.
Se l'ai appris, avec eux, l'enfance...

Parce que les mots sont trop peu, là bas où se vend de tout.

Comme se manipule
Un corps au karité
Façonné d'être docile
En travaillant, sans qu'il sache vraiment de quoi je me mêle.

Gonfle les comptes, les contes, comment banque les paroliers, droit d'auteur verse du milieu.

qu'on le travail pour qu'il arrive
à nous aider, nous.

Minimum d'action
Efficience

Avec la bouche il aide assez d'affaire ?
Et sa présence ?

C'est le plus mal payé de ce qu'il rend, pourtant, partout, souvent, ces enfants sont ils à lui ?

De qui vraiment ?

Autrement responsable ...

Sa pension, celle qu'il verse
Rappel des juges.

On était marié...

Pourquoi ?

Continue

C'était son choix mais il m'a battu
Ma famille voulait cet enfant.

L'ai je fait pour eux ?

Légère aussi suis je ?

L'enfant respire, grandit, je l'aime.

Heureusement comme ça

Me donne une raison d'être eux mes enfants et mon enfance, mon enfant, moi ?

Qui suis je ?

Aimé sans toi à côté, ou ...

Ce sont mes enfants qui comptent, les enfants, les femmes mettent au monde des Hommes on connaît pas.

Ça n'a pas de sens, parce que j'aime qui je veux depuis toujours même qu'on me cache. Mon imaginaire est tel, ma raison est tel, ma force est grande.

L'erreur est humaine ?

Faune ...

Pudeur, réjouissance ...

Peu importe qui m'enfante parce que j'aime qui je veux.

Quand je pense à lui, à notre jeunesse, à ma jeunesse et d'où je viens, ce chemin parcouru à découvrir ce pays, ces facettes, ces vitrines.

Ton enfant, nous.

Mon éducation ne pouvait échouer grâce à mes parents, d'ailleurs j'adapte  d'autres ordonnent, plus fort encore.

Il conduit ma vie.
Lui, celui en qui je crois.
Celui que je n'ai jamais eu, vit en moi.

Et la justice rendu aux victimes de ce monde des réactions...

Chaîne de la vie qui sait ce que se cherche

Phénomène

Suis ce qui le défend, parce que je suis ce mal, cette femme et ces Hommes.

Le pousse comme je suis mer mère maire.

Océan d'imaginaire
L'air ambiant
Parsemé
Code, mode, iode

Étendu de valse moisson
Charrue battant la terre
Fertilisant, et nouvelle graines.

Protéger les Hommes...
Les animaux ...

Les plantes ?

La pierre ?

Bien pensance 

Séculaire

Ce corps est ton avenir

Regarde ces doigts ...

Sont ils de toi demande pensé au cerveau que corps reçoit

au commande sous l'effet des satellites gouverné par le mouvement perpétuel
des planètes, soulèvent question réponse, question réponse, question réponse question question question question ?

Que tu façonnes, que tu éduques au services des Hommes,  comprendre sa nature profonde par le médium au plus grand nombre.

Et la nature, ce qu'on lui prend.
Tout ce qu'il y a de bon dedans .
Sans rien donner à elle.

L'Homme définit lui même ce qu'il vole à la nature ?

Il produit encore ?

L'occasion  ...

Quand ton corps reflète à l'autre une possibilité de se comprendre un peu mieux qu'avant, tout ce qui l'engage, tout ce qui l'emporte dans ce véhicule portable, potable, bleu doux.

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