Qui voeux

Slow reading 

Lecture lente

Voie, incandescente braise

réjouis ce la

Voyage astral,
roue des nombres côte à côte

Pauvre cherche
Riche trouve

Néwo

Labérile

Dévolu 

L'appui des uns font mâche !

Ski, grimpe, saut dans le vide !

Dose d'air ...

Appui tête ...

 Cependant, compensé, ces pensées fondantes, chocolat glacé.

Mozart l'orchestre 

Langues silencieuses, un doute nos secours. La route à des histoires, elle parle de nature, d'environnement,
d'impact sur l'école, éducation, transmission de savoir.

  Des véhicules acquis, acquiesce sans vouloir, plus rien ne peut vraiment, comprendre vraiment pourquoi, comment  ...

Zeste, la vie va, comme elle peut, découvrir l'Homme à la naissance, de ...

Demande deux mains au seigneur
Demain s'il plaît encore,

 un peu de nosotros 

Frère et sœur à coup sûr !

Quelque peu rompu, coup dans le vide, des sots d'eau, paroles en l'air, habile protecteur, gymnaste, un peu de sabre et du décor.

(Mon coach, trop fort)

Des moyens de concevoir l'histoire, celle qu'on aime entendre à ces mythes, telle que de surfaces arrangent.

Les rencontres, sommet d'un mât, aboutit l'amateur, l'emettant reçu, dépose une signature. 

Valeur d'un lustre, fabriqué sur plan, dans la même matière que l'art . 

Terre à pousser la pierre , la plante et nous, l'a pris l'or, partagé les sous, pleure le peuple partout, sous la pluie.

C'est les ciels ?
C'est le genre ?

A moindre égaux qu'à des endroits, les mieux lotis jouent à gens qui rient, partout cueille le sous, à la sueur de front l'oublie, facteur d'amour.

Des armes moques , faites de sang qu'on reproche, à des proches, à l'instant où débats battent, folie fole, fou foule.

Des parents vacque à la besogne, sabots d'antan ont creusé les marches à la pioche?

Fait des sentiers de cailloux, massent le char à boeufs, d'Henri ci, d'Raymond là, d'on bout de pièche d'à l'hutaux au coin du feu, des marmites païenne.  

Les reugnes du mimile c'qui s'fait dans un hameaux n'se fait pas partout, percing tout ça, gorgoillon je t'en parle pas...

Des bals découpé à la tronçonneuse ? 

Sacré programme chez tribulant, sombre sort des lois du crue, des mémoires mal aimé, alarmant, malheureuse histoire.

Bout tendu voile au cap
passera la montagne sans bateau, un bâton seulement ?

Des bonnes godasses !

Tantôt banc
Plutôt bois

Je me retrouve sur des ailes
avec elle nous sommes deux

Tu connaîs la position ?

Là haut depuis le ciel
Je marche dans un rêve
Marche de celle
D'océan
De saison

Salaison 

La maison
libre qu'on appelle
Le diamant
Oraison

ou que tu sois
Fidèle ça promesse
Ose chance du long choix 

L'air transmet nos vœux
Des Hommes parlent de nous ?

La lumière aussi intense
Nos âmes précieuses
Féconde l'enfance

Prière à dieu

C'que l'mage accepte
Un ange, un être cher

Une amie
Une compagne
Une amante
Un amour
Une idée
Un possible
Un terrain
Une entente

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Pompidou wouh 

Le pan galbé de la laitière 

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Flou !
lou !

Passe le gong ...

L'épisode, l'épitaphe, le nœud, la corde, s'accorde là,  au bout du pieux.

Tu me marié ce soir ?

J'aime ta coupe
À nous, seulement

Annulaire l'engendre noah

Un vin aux résidus de raison 

Engagé en tonneaux 

Nos corps ne font plus qu'un ?

Deux êtres,

 aussi aimante que toi ?

Qu'à toi !

Ton seul
La voix
Ton joug

Le flanc ajoure tes charmes solennel, aussi timide l'errant demeure, en chemin, l'organisateur du geste magistrale, justice sélective, on voit sous la robe quand la justice est pauvre. 

Ton slap telle, serpent caducé...

 L'amour attend, la ronde appelle à danser autour du feu ...

Les mémoires d'y temps, titane.

Longe malléable glissant dans la manne crémeuse, fruité, campagne sur un air de bourrée Limousine ...

Jument stabile, marche et labour

La beauce céréale, douceur gourmandes

Pudique enrobe englobe,

Générôle stellaire, frivolant, te.

De la marche à suivre
Entonne ses silences
Dans un sace en tôle galvanisé 

Tellement libre à l'intérieur

Douillet parterre de merde

Les rats demeurent

Parfum de la terre féconde
Instruit nos foyers de livre plein d'écrit au son middle 

L'avoine grâce 
Elles seules connaissent
N'a plus d'yeux pour voir
Entendre s'apesantir
Tous ceux qui l'attende
Ne vive plus d'air 

Mais de folie 

Sel de ma vie
C'est aussi qui soie
Drape le velours issue coton
Nuageux banzaï de toutes ces campagnes que tu prétends aimer 

La banque triche ?

Les bidons d'eau portée à bras de nos filles, lorgné dans un décor d'appârat.

La parure, veste en peau de grisou, les carbonés, les forgerons grade d'un butin volé au peuple.

Laisse tranquille l'amour noir

Tu ignores tant du caractère d'un pouvoir

C'est juste un show ?

Fait l'artiste !

Immense par son œuvre
Livrant les maladresses
L'âge de faire au quotidien
Par amour de vivre
Voile que de l'histoire surprend
Tissé de pensée along
Fumée de cigare
Au sommeil grandit 

Respiration ventrale 

Gorge creuse 

Des monstres sacrés 

Sont à la rue 

Un choix ?

Un oubli ? 

Je l'ignore ...

On n'aura pas leurs pouls

Lente mémoire de l'âme médecine ...

Gardienne du temple:

 qui voeux