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Je peux semer. Le doute, a ton égard.
Sur le sol trempé, ou rampe les arts.
Sous le ciel bleu clair, des yeux, face à des âges, que le miroir accorde sans ce voir. Quand les vents impriment, une image de victoire, un aveu de faiblesse, une larme, un espoir. Soit ! L'eau limoneuse, celle où nage la carpe. Celle qu'accueil en ces fonds les maux frais de l'eau vive. Ces eaux vivent courante, des sommets en descendent. Elle retrouve en un sens la lenteur des messages. D'eau vive en eau calme, mélange terre à l'eau, eau à terre, mémoire hospitalière, fortifié d'eau venu, eau nouvelle, s'évapore, revient, longue mémoire que contient l'eau, l'eau calme. Apport, sédiments aux confluences génératrice, mouvement lent quand l'eau dort, silencieuse. Vient la prochaines pluies, que font les crues, autant de goutte à la minute. Elle sort du lit l'eau calme ? Respirer dans ce mouvement; est-ce pluie de saison ? Est-ce gouttes de sueurs, nourrient des rêves? Est-ce le fantasme d'être la tête, les bras, les jambes de l'amour ? Est-ce le cas d'être l'eau sans vision ? L'eau a t elle commis des erreurs ? Je suis d'eau, et je bois ces paroles, l'eau vive revigore. L'eau vive revient à l'eau calme comme le grand amour est d'une eau qui dort. Là-bas, une montre charie, le changement d'heure. Deux heures de décalage avec le soleil est-ce normal ? Temps, qu'est-il de savoir ? Victime est pouvoir, l'eau va sans contenir, trouve refuge en eau calme. Existent ils un abri sur terre,
garant de paix sans amour ? Au décor,
espace de ces flots. Amour est une mémoire en l'eau, comprend. Seul le mouvement, peut rendre heureux du jour. Aussi lente soit elle, être de l'eau, aspire à la roue, comme à l'eau chaude. La raison est humaine, de cela qu'elle s'effondre. La sagesse est une ombre. Non agir, non pensée. Né d'un feu, une poussière, eau, être, respire de ce corps, par la nature, ce que le temps, famille, amis demandes à comprendre pourquoi ? Où ? Comment ?
La simplicité est de ce jour.
Sur le sol trempé, ou rampe les arts.
Sous le ciel bleu clair, des yeux, face à des âges, que le miroir accorde sans ce voir. Quand les vents impriment, une image de victoire, un aveu de faiblesse, une larme, un espoir. Soit ! L'eau limoneuse, celle où nage la carpe. Celle qu'accueil en ces fonds les maux frais de l'eau vive. Ces eaux vivent courante, des sommets en descendent. Elle retrouve en un sens la lenteur des messages. D'eau vive en eau calme, mélange terre à l'eau, eau à terre, mémoire hospitalière, fortifié d'eau venu, eau nouvelle, s'évapore, revient, longue mémoire que contient l'eau, l'eau calme. Apport, sédiments aux confluences génératrice, mouvement lent quand l'eau dort, silencieuse. Vient la prochaines pluies, que font les crues, autant de goutte à la minute. Elle sort du lit l'eau calme ? Respirer dans ce mouvement; est-ce pluie de saison ? Est-ce gouttes de sueurs, nourrient des rêves? Est-ce le fantasme d'être la tête, les bras, les jambes de l'amour ? Est-ce le cas d'être l'eau sans vision ? L'eau a t elle commis des erreurs ? Je suis d'eau, et je bois ces paroles, l'eau vive revigore. L'eau vive revient à l'eau calme comme le grand amour est d'une eau qui dort. Là-bas, une montre charie, le changement d'heure. Deux heures de décalage avec le soleil est-ce normal ? Temps, qu'est-il de savoir ? Victime est pouvoir, l'eau va sans contenir, trouve refuge en eau calme. Existent ils un abri sur terre,
garant de paix sans amour ? Au décor,
espace de ces flots. Amour est une mémoire en l'eau, comprend. Seul le mouvement, peut rendre heureux du jour. Aussi lente soit elle, être de l'eau, aspire à la roue, comme à l'eau chaude. La raison est humaine, de cela qu'elle s'effondre. La sagesse est une ombre. Non agir, non pensée. Né d'un feu, une poussière, eau, être, respire de ce corps, par la nature, ce que le temps, famille, amis demandes à comprendre pourquoi ? Où ? Comment ?
La simplicité est de ce jour.
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