Én

Je reste mâle à côté d'une femme. Elle est femelle envers un homme.

Elle peut être marié dix fois, avoir eu 19 enfants, lui manqué jambes où bras.

Sortir en jupe,  en pantalon, nue.

Elle peut sentir l'odeur d'une poubelle.

Elle peut-être de la confession de son choix, elle peut-être de la couleur du miel.

Tout lui revient quand elle est, de ceux qu'elle aide.

Celle que je rencontre me dit aimer est une aubaine.

Source intarissable, l'eau jaillit.

Lui, elle, eau leur donne vie.

Peut-être me suis-je trompé de femme, sans doute...

Elle aussi suit son amour.

Qui est-ce ?

L'enfant de son être, enfant de chaque être cueillant à raison la possibilité de s'éveiller en respirant, en aspirant à être de soi tout ce que l'on souhaite aux autres.

Puisse qu'une seule femme m'accompagne avec la même densité, aspiré à vivre pleinement dans l'amour d'une dimension plus étendu. Appelons cela le ciel. La somme incommensurable de ce que nulle n'explique, La dimension infinie de ce qui apporte à l'instant présent la qualité d'être en vie, et, nous témoigneront de l'amour du ciel, celle d'un dieu prié et unique, histoire transmise en livre, en musique, en cuisine, en soin, en travail relationnel, en famille, en société. 

Histoire véhiculé par tout ce que la vie articule en chacun et autour à rendre l'enfant vivant.

La nature donne.
L'humain est de cette nature. 
Nous sommes d'abord de l'eau. L'humain est par nature sobre.
Quoi de plus limpide que l'eau? 


Puissions reconnaître la nature comme une femme, comme un enfant.

L'ensemble, la pluralité, la diversité, forme zéro.

L'éveil demeure dans les valeurs de pardon, de miséricorde,  d'humilité,  d'hospitalité,  de sobriété, de liens.

Nulle ne s'enrichit honnêtement.
Nulle ne s'appauvrit tout seul.

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