Articles

OQP

Image
Loge à place copie Fréquence low spectre Don dany rideau  Été plumes summer  Ago sol bowl Lors du dernier cap  Il lit tout nu Sans doute  Face poil à dos  Demain domaine  On des bases solides Sur la gym douce  D'amour d'aimer  Dans le ventre mère  Place dépense out  Jeu les primes first  Oui les danses  Forêt Joy Trouvant sa nature Parle bon mesure  Quatre jours plus tôt  Sur un tableau  Peint d'avis de passages  Au plaisir Nul est ce bon voyage  Du fruit qui pousse Des voies seulement loué Par la cime sur le sable L'eau de Nîmes aminé l'orage  Dissipé les hordes masses On s'embrasse  Ours Pêcheur aimant l'eau douce  Les sédiments la sémantique  Les plantes grasses Inconditionnel ail Dispense sur la route  L'émue chemin Des lois caresses  Quand la roue coule  à ces patiences  Pression du vide Car des soupirs  Ce que les mondes  ont en commun Aucun soucis ne dore au four Regarde comment  l'humain s'oublie  Puisque la veille la vielle j

Simple complexe

Image
Depuis la mandoline,   toutes fautes  incluses ... Rendez vous randonneur, la cadence doucement . Monté sur deux talons, on bouge en cambrant notre silhouette. Là où tu veux, partout , ensemble. D'ailleurs, où dors tu ? Arrête toi quand tu passes, ça nous ferait plaisir. Le zèle est plus important encore. Il lisse nos apparitions en des  dimensions invisible pour la plupart d'entre nous. Reconnaitre la chance que tu as, d'être partout sans savoir, d'être celui qui transporte notre vie au quotidien. On apprécie ton haussement d'épaules quand on fait appel à toi. On sait que tu es souvent partant pour jouer au chat,  nous d'ici, on suit ton parcours . Qu'est ce que tu en fais des détours pour aller chez B. Tu pars à quelle heure pour arriver où ? Toi qu'on savait tant hilare au temps où on se voyait tous les jours. Maintenant c'est ta discrétion qui cale notre partition, pour séduire les artistes que nous sommes, afin de dissoudre la frus

sO

Image
Il est de ce pays colombe de cette ombre, du nombre Pi l'art se fait tard le temps ami.   Il doit voir que les violences révèle aussi des maladies, carence éducative les mêmes eux gardent ceux qui dérivent Son degré de constance harmonise ses hémisphères ce corps est sa matière Tissu qu'il masse au karité   Il pense que la lumière autre que l'esprit   Intime à la matière Ce corps fusionne quand l'esprit brille   Combien de symbole font courir les bruits ?   A partir d'un silence sa nature respire sans projet particulier autre que l'oeuvre du témoin rencontre son corps lors du voyage Les yeux fermés il s'en va. S'en va loin de ce corps puis revient.   Le voyage peut durer un temps Un temps précis pour revenir Le véhicule qui le transporte la relation qu'il entretient  Ce corps est sa maison L' âme est son témoin   ...   discrétion, contraste d'en haut révèle d'en bas mûri   embase fondement des cryptes alimentation cellulaire ascèse ces dé

gOoD

Image
Il a rencontré la langue abyssale poème étrusque de l'amour divin voie oscillante de ces dimensions harmonie des centres sacrés ordre minéral en hydratation fleur androgyne sans pétale fâné par des recherches inexpliquante Il a joué sans savoir, su sans comprendre pourquoi comment ni ou le secret se cachait Diamant de la creuse L'équitable ne soutenait aucune forme  Le sens était vain Le vin noyé d'eau Du liquide et ces mélanges molécules étranges Des longes pour les chevaux Cheveux long La valeur conduisait sur des chemins géolocal Voyage industriel peigné par des aiguilles Il appréhende ce qu'il réserve sous l'effet du soin Corps d'école que le mental quitte Où va l'esprit dépassé de ces montagnes Montage, rush, travail mené par du salaire L'heure qu'il étale paper couché sous le crayon vague sont ces recherches diffuse en sensation manège intemporel de lettres accords règle de ces tendances  engendre pardis la suite        

Mas Ragoût

Image
  Les responsables ne sont pas ... Les passages ne sont pas ... Des passerelles comme les autres aboutissent en face. La rive est plus saine, moins sale que le vent d'hier.   Hiver pluvieux, neige sur la ligne blanche. Goudron balayé, par des chasseurs orange. Eté bronzé, raquette sur la place. Plage bondée, d'avion dans les nuages. Sol souillé, de bouteilles sérieuse. Des gens à poils, même à la loupe. Soupe froide,  sur un réchaud à gaz.   Soucoupe, impossible à croire,   Le bazar étamé, à l'usure standard.   La droiture fait froid. Parfait naît pas à l'ouest.   Le soleil se lève. Le milieu offensif, la défense silencieuse.   Le meilleur actif, le passif rêveur...   Le rêve constructeur d'être à l'oeuvre.   Au travail, en soutane, habits chinés dimanche.   Elle trouve ce qu'il peut lire en transe.   Sans avoir pour quand, ce qui n'attend que nous.   Autrement démêler, un noeud après l'autre.   Habitant dans une goutte, sur des astres en tissu déper

Prince S

Image
Palais sur Vienne ... Serait-ce le prince de ces lieux ? En amont de ce village, toujours au bord de cette rivière, la Vienne, l'agitation des deux roues pétarades, dans un quartier Limougeaud. Il paraît évident, que ces incommodités fassent fuir le repos des riverains, qui souhaiterais respirer le bel air en toute quiétude, sans avoir à faire le dos rond, devant le choc des générations. Un lieu magique, pris d'assaut par la musique jusqu'à point d'heure. Autour d'une bouteille d'alcool, plusieurs, et de la fumée âpre qu'une bouffée d'étourdi, accompagnent afin d'entretenir les pannes de rêves. Il est 19 h passé de rien. Moi même garé à côté d'une voiture, vomissant le son toutes portes ouvertes. Quelques pieds plus loin, un sexagénaire casquette à l'envers, promène un caniche. Il affiche un côté peace, et une certaine appartenance à la classe populaire en balançant ses épaules ci et là. Serait-ce pour se fondre au décor

Étrangement proche

Image
Plusieurs passage ... Nouvelle donne ... Cette fois ci à l'étage Assis à table c'est le soir Une carafe d'eau plate, fraîche, arachide en comprimé;  demain j'ai solfège dans un rêve éteint. Arrivée d'une arachnide gustative, j'empreinte une goulée de Savagnin à température ambiante. À droite, fenêtre ouverte sur la rue,  une assiette se dépose au centre d'un set bordeau. Un regard  ... Balaiement du décor, je plonge au repas. Mes sens éclaboussent dans une poussière de morille.  Le veau mobilise mon attention accompagné de frites molle et gratiné.  C'est le parfum du fromage qui enrobe mes pensées en noyau étourdi par l'émincé de persil cerneau de noix morbier tome et encore.  Le cerveau ne décide plus.  On se laisse emporter par la fragilité de la raison au plafond du sous sol, dans une cave voûtée et pleine de rire en voyage. Le soupir, une essence,  un raisin mûre. Le fruit reprend son souffle,  l'assiette débarrassée . Retour à n